
Tu as gommé tous les motspour que la page redevienne d’un blanc parfait.Tu peux laisser la place à une alouettedont le vol écourte le temps,.Tu longes au gré de tes sommeilsle bord du fleuveen partance pour nul estuaire.Quel monde bruit désormais en toidont tu es l’incendiaire?.....Tu parles,mais ce n’est que du silenceaussi clairqu’un regard qui s’attarde sur l’enfance.Tu marches,mais c’est pour donner le changeaux feuilles, aux arbres, aux roseaux.Et la vieque tu as prise en charget’a concédé le droitde poursuivre ta route à...
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