
Tant il me plaît vaguer au bord de la merQuand vers l'amont avec le soleil migrant Délinéer les contours des cimes et des montsAinsi de leur tendre la main le temps du rêveSi loin la rumeur métallique des hydres d'acierEn moi le flux d'une énergie précieuseQue la Nature lentement diffuse à l'entourTout comme les térébrantes fragrances De l' immortelle embaument l'arche des ventsAux vastes manteaux de dunes et ses versantsQue vous dire si ce n'est la complète osmoseCe voile retissu à travers lequel embrasser le réelA l'antique La...
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