
Meknès...Chaque fois que, le regard renversé vers ce qui n’a plus lieu que dans le culte, hanté, d’une chair abyssale où sommeillent vampires accrochés à la pierre, fange, ou archanges d’un âge inoublié, les cadavres qui là-ci-gisent inconsolés des années encavées agrippées à mes plaies, à l’envers de ma peau, suspendues à mes os, pendues court à mes maux et dont humides, avides, et comme froides morsures les lèvres ouvertes vulves à travers les barreaux ventousent amer mon sang, avatar, syzygie à contrecours du temps où s’abreuvent...
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