
Compte les amandes, compte ce qui était amer et t’a tenu en éveil, compte-moi au nombre de tout cela :
je cherchais ton œil quand tu l’as ouvert et que personne ne te regardait, j’ai tourné ce fil secret sur lequel la rosée que tu pensais a glissé en bas jusqu’aux cruches que protège une formule qui n’a trouvé le cœur de personne.
C’est là-bas seulement que tu es entré tout entier dans le nom qui est le tien, que tu as marché d’un pied sûr vers toi-même, que les marteaux se sont balancés librement dans le beffroi de ton silence,...
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