
On pensait jouir de l’infimeombre d’un oiseauchaîne rongée des barqueschuchotis des herbessous la caresse du fleuve…En nos ravins et gravatsen nos lisières flouesla voix jaillissaitet berçante nous dominait.Il y a de toi à moides pierres que l’on traîneet le sable toujours irritant.Il y a la lumièrele tumulte de l’ignitionet la faim houleuse.Nous sommes soudaindéplacés destituéstels des insectes évidésun jour de pierre humideet d’enfance éteinte.
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AGNES SCHNELL
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