jeudi 20 octobre 2016

LES EMIGRANTS...

 Merci Gérard Cléry  et Guy Allix ... ...   lissant leur vie aux fenêtres des trains ils voient blêmir ces paysages où nul arbre ne brûle     terre affamée de caresses et du vent pour eux déroule tes bandages     ils vont leur renommée voyage ils n'amasseront pas rivés à la souffrance plane         de temps en temps toisonnent par le gué d'un bocage ces gibets de tendresse qui ne les balancent guère     ils vont sachant fort peu plier genoux ... [Lire la suite]