
Il y a ce train têtu qui avance à travers les paysages, à travers la foule.
Quelques arrêts pour laisser monter un fol pour ajouter un tiroir, une lettre, une musique.
Il y a les autres qu’on laisse au bord de la voie ceux qui nous disent on vous rattrapera
et ceux qui n’en peuvent plus, qui se couchent sur le talus, font un signe avec la main résignés.
Il y a ces souvenirs qui disparaissent, déposés sur le quai, estampillés révolus. Alléger poursuivre aller de l’avant vers un horizon qu’on ignore pas toujours plus...
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