Les arbres de l'infinie douleur,Les nuages de l'infinie joie,Se donnent parfois signe de vie,À la lisière du vaste été.Les alouettes passent à traversSans rien saisir de leurs paroles,Une source les retiendra seulePour donner à boire aux morts.
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FRANCOIS CHENG
Photographie Thami Benkirane