Bien serré au creux de ta paume, Le caillou blanc ramassé en chemin
S’est endormi, tiède comme un oiseau
Mais soudain on dirait qu’il bouge Il vient de frémir dans ta main, C’est un cœur qui bat sourdement,
Un simple caillou blanc Comme le cœur du monde dans ta main.
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PIERRE GABRIEL