
C'est moi, femme, je vois mon chemin ;
Je suis austère, âpre, immense, inébranlable, mais je t'aime ;Allons, je ne te blesse pas plus qu'il ne te faut, Je verse l'essence qui engendrera des garçons et des filles dignes de ces Etats-Unis ; j'y vais d'un muscle rude et attentionné,Et je m'enlace bien efficacement, et je n'écoute nulles supplications, Et je ne puis me retirer avant d'avoir déposé ce qui s'est accumulé si longuement en moi, A travers toi je lâche les fleuves endigués de mon être,En toi je dépose un millier...
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