dimanche 11 février 2018

L'ATMOSPHERE EST SACCAGEE

Je vis dans d’autres dimensions, je vis dans l’incroyable, ce que l’on ne voit pas, ce que l’on n’entend pas, ce que l’on ne sent pas et je ne veux pas atterrir Pour m’atteindre, il faut que le blues infuse des déchirures de vielle, de guitare, de saxo. Il faut perdre toute notion du réel et de l’irréel. Il faut que les voyelles éclatent de couleurs diaphanes et nébuleuses, sans pour cela s’appeler Rimbaud. Il faut des vents échevelés qui feutrent les chevelures, des brumes flottantes et grises pendant aux arbres comme des robes de... [Lire la suite]
Posté par emmila à 20:49 - - Commentaires [1] - Permalien [#]
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dimanche 11 février 2018

PARIS SANS ABRIS - SANS-ABRI ....!

Paris comme un rêve au petit jour que la grisaille grime Paris du pont Mirabeau    des rimes Apollinaireallant à vau l'eau Paris que les bords de Seine des canotiers chers à Maupassantdistancent sans autres nouvelles que les larmes des saulesendeuillés Paris Carco       Paris Aragon des jours heureux des jours enfuis Paris Montmartrede nos rêveries Paris        Quai des Brumes amour-poésie où êtes-vous Mais... [Lire la suite]
Posté par emmila à 13:02 - - Commentaires [0] - Permalien [#]
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dimanche 11 février 2018

PATRICK CHEMIN ...Extrait

Les heures de la nuit sont de pâles fiancées au chevet de l’insomnie. Ce qui précède et ce qui suit. Les soucis.Je ne sais pas s’il est possible de trouver la paix dans toute cette prose archaïque de la survie. S’il suffisait d’écrire, en bas de page, des notes de lecture pour ne pas se perdre. Petits poucets égarés dans la forêt de la nécessité.Cécité du destin. Il est difficile d’apprendre quand chaque jour est opaque.Je le dis et s’il faut le dire plus fort, je porterai la voix. Ce monde manque cruellement de tendresse et de... [Lire la suite]