
Fraîcheur qui défie le selRiveraine de nos soifs –Un peu d’eauEt la trace libère une envolée de feuilles clairesRécitantesAu poème buissonnier de l’enfant
Seul tu franchis la passe de l’ÉpineuseSeulTu reviens par le chemin exposéAux rudesses du bâtisseur.Et à son chant.
Sur les margelles de nos puitsTes cailloux éclatentBaie succulenteEt douces à nos mainsTes graines dans les jardins du livre.
.
.
.
THIERRY METZ
.
.
.