
La sente s'accôte sans tarder au flanc du versant.
Pierreuse, parcourue de minces filet d'eau, aux bordures jonchées de fleurs et de plantes grasses des rocailles.Majestueuse, dans toute sa longueur lovée sur la pierre réfringente et humide, une couleuvre se dore au soleil.Le bruit des pas la dérange. Elle s'y dérobe, sans bruit,furtivement, puis nous abandonne, n'en finissant plus d'onduler avec une grâce lascive.Quelques minutes d'ascension distancent de la voie, commune et du tumulte ferré. Le tracé...
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