
Les mains sont-elles vides, quand personnen’est plus là pour les guider ? Elles se tendent,se tordent, se cassent, vouées à l’impuissance.Nous regrettons les beaux hivers que la neige attiseentre deux tempêtes, les nuits nous semblent identiques,qui s’accumulent. Nous appelons « les morts »ceux qui nous ont aimés dès qu’ils échappent à la vue, nous les mettons un peu plus à l’écart.Pourquoi nous auraient-ils abandonnés ?Nous seuls les trahissons, aucun langage n’évite de mentir, aucun ne nous permet de...
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