
Vieux sommeil, où sont tes fils ?Tu dois en avoir des jeunes, des solides,De ces gaillards capables de bien plus Que de survenir et d’éteindre la lampe.
L’un doit s’allonger auprès de ma peur,Un autre s’agenouiller sur ma nostalgie,Ils doivent avoir tous deux des poings solidesPour que les voisins n’entendent aucun cri.
Quelle poudre veux-tu me jeter dans les yeux ?Du sable ? ― Je ris ! ― je peux t’offrir tout un désert pour des yeux pareilsqui déjà s’en contentent.
Les miens, tu sais, sont...
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