
Ce mal andalouAussi tenace , aussi fouQu une entaille qui nous videA force de nous complaire dans une solitudeQui nous habite et nous guideNotre âme devenant un oasis réduitAux lambeaux de sang et d amour qui nous détruitDes lieux qui renaissent en nousCes maux qui rapiècent nos corps désunisQue de lourds silences ont sacrifié , ont tuméfiéPour en faire des lots éprisDu jeu des mains qui sauvent puis s enfuientCe chant andalou aussi tenaceQue la lumière en cascade ,Que les tresses dans leur embuscadeQue la démarche d une femme...
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