Un trait d'étoile sur des larmes pétrifiées
Dans l'ourlet de la chair
Un bleuet infiniment cousu
Un fanal dans ton poème
Un roulis de mots que chaque césure
Tenaille puis rejette à la vague
Dans la crevasse c'est ton silence
Un plus-que-mots que chaque césure
Déploie comme un fruit marin
Pétale après pétale comme une rose d'océan