
Les temples, les églises, les synagogues ou les mosquées étaient désaffectées depuis longtemps mais on les laissait ouvertes pour que les bêtes en divagation y trouvent un refuge. On ne savait pas à quel principe, à quel commandement ou à quelle coutume, cette mise à disposition faisait référence. On ne comprenait pas plus la tendance instinctive des troupeaux à occuper les édifices religieux. Le grand œil planétaire lui-même, qui reflète et recense les vivants et les morts était indifférent à ces phénomènes. À...
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