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EMMILA GITANA

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24 décembre 2014

NOEL ....

NOEL ....
Il en est comme du couple de tourterelles ... N'est-il pas chaque jour Noël aux fruits de l'arbre, dans l'air empli des sucs d'une saison et la vasque translucide où l'on boit l'eau claire et vive d'un indicible chant, d'un cantique ? D'ailleurs, dites-moi...
24 décembre 2014

ESPOIR.....

ESPOIR.....
" Si espoir il y a, espoir est dans mon olivier Dans ma terre saignante Dans ma mer révoltée Dans ma montagne tranchante Si espoir il y a, Espoir dans toutes ses belles images qui prennent le chemin de la révolte, Celui du retour vers soi." SAMIRA NE...
22 décembre 2014

LA CARTA EN EL CAMINO

LA CARTA EN EL CAMINO
Adiós, pero conmigo serás, irás adentro de una gota de sangre que circule en mis venas o fuera, beso que me abrasa el rostro o cinturón de fuego en mi cintura. Dulce mía, recibe el gran amor que salió de mi vida y que en ti no encontraba territorio como...
22 décembre 2014

JOE COCKER- You're so beautiful

21 décembre 2014

A UNE SERENITE CRISPEE

A UNE SERENITE CRISPEE
Au commencement était la peur, puis la résistance à l’objet de la peur, ensuite le verbe, le secret et les autres occurrences. (Je mets le chant côte à côte avec l’illusion , où il vous plaît de les placer.) RENE CHAR Oeuvre Jaya Suberg
21 décembre 2014

DANS LE ROUGE DU TARD

DANS LE ROUGE DU TARD
Dans le rouge du tard les noms dorment : un ta nuit en éveille et le conduit, accompagné de blancs bâtons, à tâtons vers le mur du sud de ton cœur, sous les pins : l'un, de taille d'homme, franchit en marchant, la ville des potiers là où la pluie entre...
21 décembre 2014

LA MACHINE DU MONDE ET AUTRES POEMES...Extrait

LA MACHINE DU MONDE ET AUTRES POEMES...Extrait
Je demande pardon d’être le survivant. Pas pour longtemps, bien sûr. Tranquillisez-vous. Mais je dois confesser, reconnaître que je suis survivant. S’il est triste/comique de demeurer assis à l’orchestre quand le spectacle est terminé et qu’on ferme le...
21 décembre 2014

ECLATS D'UNE POETIQUE DE L'APPROCHE DE L'INCONNAISSABLE - Livre VI - ...Extrait

ECLATS D'UNE POETIQUE DE L'APPROCHE DE L'INCONNAISSABLE - Livre VI - ...Extrait
Nous naissons de l'écrit et les cris nous écrivent. La voix transcrit l'obscur en son vacillement. Sens-cri pour toi-même tu es trouble pour l'autre. Tu perds la voix, la voix te hèle, - le renaissant. L'obsurité défend la blancheur de la page. Voyance...
20 décembre 2014

BERCEUSE AU MIROIR ENDORMI

BERCEUSE AU MIROIR ENDORMI
Dors. Ne crains pas le regard errant. Dors. Ni le papillon, ni la parole, ni le rayon furtif de la serrure ne t’atteindront. Dors. Comme mon coeur, comme lui, mon miroir. Jardin où l’amour m’espère. Endors-toi sans crainte, mais réveille-toi, quand mourra...
20 décembre 2014

CONFUSION

CONFUSION
Mon coeur, ou le tien ? Qui reflète mes pensées ? Qui me prête cette passion sans racines ? Pourquoi mon habit change-t-il de couleur ? Tout est carrefour! Pourquoi vois-tu dans la fange tant d’étoiles ? Frère, est-ce toi ou moi ? Et ces mains si froides...
20 décembre 2014

L'ARBRE, LA LAMPE

L'ARBRE, LA LAMPE
"L'arbre vieillit dans l'arbre, c'est l'été. L'oiseau franchit le chant de l'oiseau et s'évade. Le rouge de la robe illumine et disperse Loin, au ciel, le charroi de l'antique douleur. . O fragile pays. Comme la flamme d'une lampe que l'on porte. Proche...
19 décembre 2014

CRONOPES ET FAMEUX...Extrait

CRONOPES ET FAMEUX...Extrait
Je touche tes lèvres, je touche d’un doigt le bord de tes lèvres, je dessine ta bouche comme si elle naissait de ma main, comme si elle s’entrouvrait pour la première fois, et il me suffit de fermer les yeux pour tout défaire et tout recommencer, je fais...
19 décembre 2014

QUASI PARLANDO...Extrait

QUASI PARLANDO...Extrait
Un soir en dentelle au goût poudreux de ton épaule dans la glace j'ai entendu la mort dans ses phonèmes de craie le vent crachant dans les venelles le vent crachant dans mes poumons j'ai dit adieu au papier écolier à la trace d'une chevelure laissée par...
19 décembre 2014

AMOUR, HUMOUR, FANTASMES & (R)APPELS...Extrait

AMOUR, HUMOUR, FANTASMES & (R)APPELS...Extrait
Ayant appris ce qui ne se fait pas à coups de ceinture et de privations je me dirigeai à petits pas vers l'âge des grandes frustrations. Mais chemin faisant - j'avais grandi et pissais au-delà de deux mètres, le diable des sens me reprit : une fillette...
18 décembre 2014

CHRONIQUE DE LA TRISTESSE ORDINAIRE...Extrait

CHRONIQUE DE LA TRISTESSE ORDINAIRE...Extrait
(...) La première fois, ce fut à l’aéroport français du Bourget, et une autre fois, dans une rue de Sofia ? Tu fus pressé de te déclarer exactement, de te définir. Ton identité, sur tes papiers, était : "non définie", mais en toi elle pointait comme une...
18 décembre 2014

LA TRACE DU PAPILLON....Extrait

LA TRACE DU PAPILLON....Extrait
Un été automnal sur les collines tel un poème en prose. La brise est une cadence légère que je sens sans l’entendre dans la modestie des arbustes. L’herbe tend vers le jaune, images en ascèse qui séduisent la rhétorique en se comparant à ses fourberies....
16 décembre 2014

CORPS A REINVENTER...Extrait

CORPS A REINVENTER...Extrait
Je tourne la page de l’airet là j’écrisd’un coup d’aile ou d’un coup d’œildans l’excédent qui trouble l’écritureMouette du large qui poursuitsa propre vie dans le sillagele soleil soluble dans les motsJe ne suis rien sur cette terrequ’un de tes pas de...
16 décembre 2014

L'INHABITABLE

L'INHABITABLE
L’inhabitable : la mer dépotoir, les côté hérissées de fil de fer barbelé, la terre pelée, la terre charnier, les monceaux de carcasses, les fleuves bourbiers, les villes nauséabondes L’inhabitable : l’architecture du mépris et de la frime, la gloriole...
15 décembre 2014

RESSAC

RESSAC
Que viennent toutes les voix et toutes les rumeurs et les cris que viennent les silences compatissants, les silences satisfaits que viennent toutes les choses que je ne peux voir à la surface de la société des hommes; que viennent tous les ables, limons,...
15 décembre 2014

L'ARBRE ABATTU

L'ARBRE ABATTU
Un léger relief arrête la main. A peine sensible, un sillon, puis d'autres proches creusent la surface. La main effleure. Elle tâtonne comme à la recherche de détails estompés. L'arbre a souffert des derniers orages. Il était vieux. Il s'est rendu. Abattu...
EMMILA GITANA
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