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EMMILA GITANA

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10 octobre 2014

MOSAIQUE CELESTE

MOSAIQUE CELESTE
Dans cet espace proche de l’impalpable Dans cet instant tendu sans mémoire méditant aux brisures acides de la destinée Dans le gouffre de Lumière criblé de marbre et de cristal j’ai vu fondre l’écume aveugle des étoiles Voûte céleste où glisse lentement...
10 octobre 2014

BARBARA FURTUNA & L'ARPEGIATTA - Maria (sopra la Carpinese) from Via Crucis

10 octobre 2014

BARBARA FURTUNA & CONSTANTINOPLE - DIU VI SALVI REGINA

9 octobre 2014

SANS AILES...

SANS AILES...
Comment il entre en nous par le seuil du silence, le mot. Pour qu'entre nous soit dit, comment elle nous tient, la parole, Des entrailles aux lèvres, En ce fin tremblement de ce qui pourrait-être, Si jamais. Comment elle nous dresse en désignant le monde,...
9 octobre 2014

MESHELL NDEGEOCELLO - MARY-MAGDALENE

9 octobre 2014

LA POETIQUE DE L'ESPACE....Extrait

LA POETIQUE DE L'ESPACE....Extrait
"La maison est tantôt le coffre de nos souvenirs, tantôt un état d’âme. Cela veut dire que, même avant de devenir figure onirique ou lieu imaginé de notre passé-futur, la maison abrite et rend possible le processus de la mémoire. Et, parce qu’elle révèle...
9 octobre 2014

ELOGE DE L'IMPERFECTION...Extrait

ELOGE DE L'IMPERFECTION...Extrait
Tout est de trop : visages, objets, regards, paroles, mouvements, bruits, chiffres, lettres, corps et bêtes, soumissions et allégeances, références et préférences, sexes et divinités... Chercher un lieu où le deuil des souvenirs est la seule raison de...
8 octobre 2014

L'IDEE FIXE

L'IDEE FIXE
Je t’apporte une petite algue qui se mêlait à l’écume de la mer et ce peigne Mais tes cheveux sont mieux nattés que les nuages avec le vent avec les rougeurs célestes et tels avec des frémissements de vie et de sanglots que se tordant parfois entre mes...
8 octobre 2014

JOEL GRENIER...Extrait

JOEL GRENIER...Extrait
Faut dire que dans le creux de ses bras, elle ne savait que voler, qu'elle se chaussait de nuages quand il l'emportait. Faut dire qu'elle en perdait la tête à se serrer si fort , à se fondre dans lui pour ne faire qu'un seul coeur. Et que les regards...
8 octobre 2014

AGNES SCHNELL...Extrait

AGNES SCHNELL...Extrait
On s’obstinait à renforcer des digues à haler un monde d’encre et de silence. On osait parler aux étrangers qui peuplaient nos songes. On disait ces ailleurs et ces mille riens qui comblaient le vide. Sans doute rien ne nous sera donné ce murmure de nos...
7 octobre 2014

IL Y A DE L'INNOCENCE DANS L'AIR...Extrait

IL Y A DE L'INNOCENCE DANS L'AIR...Extrait
Sortilèges, calligrammes du vent Revenir de l'enfance mal léchée que taquinent les carreaux de chocolat dans le garde-manger Basculer sous l'échelle de verre du rendez-vous d'avant-hier aux lèvres humides. Garder l'empreinte de la limaille en marge de...
7 octobre 2014

LES SEPT PRENOMS DU VENT...Extrait

LES SEPT PRENOMS DU VENT...Extrait
Aimez par-dessus tout aimez jusqu’à l’affolement des pôles Quand toutes les routes sont perdues les nuits l’éblouissante Clarté des abîmes aimez jusqu’au verso des étoiles jusqu’au Sang qui fait les poches de l’aurore jusqu’à la folie déchirez Tout ce...
7 octobre 2014

PARIS

PARIS
Quand je marche et pleure dans la rue Gît-le-Coeur je regarde Les hirondelles en fleur celles qui s'arrêtent quand Le ciel prend son temps avec les roses J'arrive matin d'or Du boulevard Saint-Michel ou soir sang de la rue Saint-André Des-Arts Je marche...
5 octobre 2014

FEUILLETS D'HYPNOS 127

FEUILLETS D'HYPNOS 127
Viendra le temps où les nations sur la marelle de l'univers seront aussi étroitement dépendantes les unes des autres que les organes d'un même corps, solidaires en son économie. Le cerveau, plein à craquer de machines, pourra-t-il encore garantir l'existence...
4 octobre 2014

L'INCURIE INCREMENTEE A LA SEVE DU JOUR

L'INCURIE INCREMENTEE A LA SEVE DU JOUR
Crier à bout de souffle revient à déchirer les derniers copeaux d’ombre qui éclaboussent mes landes dévastées. Hurler sa rage clôture l’étouffement des griefs portés en bandoulière comme la nonchalance de son amour-propre. L’espérance prodiguée par la...
4 octobre 2014

L'EFFARANT INTERIEUR DES OMBRES - UNE HACHE POUR LA MER GELEE II...Extrait

L'EFFARANT INTERIEUR DES OMBRES - UNE HACHE POUR LA MER GELEE II...Extrait
Quand je marche derrière elle c'est comme si je suivais La Grande Ourse au moment où elle plonge dans la mer Ce long basculement des hanches cette souplesse amble Comme une lente caresse qui fait fleurir le frisson c'est Une marée qui hante les branches...
4 octobre 2014

JOEL GRENIER...Extrait

JOEL GRENIER...Extrait
L'enfance posée en haut d'une étagère, les ficelles sont trop grosses pour pouvoir l'oublier. Et l'on se demande qui, du gosse ou de l'homme, est le plus pantin. Des rêves disparus pendent encore au bouts des fils, bras ballants, lèvres pincées pour taire...
4 octobre 2014

HAUTE SOLITUDE...Extrait

HAUTE SOLITUDE...Extrait
Oui mon âme, tout cela que tu vois, c’est la vie, tout ce que tu examines en soupirant, c’est la vie. Restons nous deux, cent ans et plus, restons les bras sur la balustrade, le corps appuyé au bastingage, la prudence bien affûtée, restons et résignons-nous....
4 octobre 2014

LE DESESPOIR DU SOLEIL

LE DESESPOIR DU SOLEIL
Quel bruit étrange glissait le long de la rampe d'escalier au bas de laquelle rêvait la pomme transparente. Les Vergers étaient clos et le sphinx bien loin de là s'étirait dans le sable craquant de chaleur dans la nuit de tissu fragile. Ce bruit devait-il...
1 octobre 2014

SALUT MA PUCE....

SALUT MA PUCE....
. L'ange du temps l'assassin de l'ombre découpe la mort et l'angoisse en filets de vie et de pastels La question, inaudible griffure sur froissement de vie, immuable, dans les couleurs du silence millénaire, toujours la même, reste là, Pourquoi ? Pourquoi...
EMMILA GITANA
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