Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

EMMILA GITANA

Visiteurs
Depuis la création 1 611 305
Newsletter
Archives
3 septembre 2010

ACTUELLES - ECRITS POLITIQUES...Extrait

ACTUELLES - ECRITS POLITIQUES...Extrait
Combat, 8 septembre 1944, Dans le Figaro d’hier, M. d’Ormesson commentait le discours du pape . Ce discours appelait déjà beaucoup d’observations. Mais le commentaire de M. d’Ormesson a du moins le mérite de poser clairement le problème qui se présente...
1 septembre 2010

MURALE...Extrait

MURALE...Extrait
Un jour je serai oiseau et, de mon néant,Je puiserai mon existence. Chaque fois que mes ailes se consument,Je me rapproche de la vérité et je renais des cendres.Je suis le dialogue des rêveurs.J’ai renoncé à mon corps et à mon âmePour accomplir mon premier...
1 septembre 2010

DANSER VERS L'ABÎME

DANSER VERS L'ABÎME
Écoute le roulement des galets dans la mer ! Hors les murs nus de l'être prolongeant la hantise de la musique muette, soudain murmurent en nous les flûtes du crépuscule. Dans le passage de notre souffle mortel les mots tracent le sens que nous espérions...
1 septembre 2010

ESTOY CON EL TERRORISMO

ESTOY CON EL TERRORISMO
Nos acusan de terrorismosi defendemos la rosa... y la mujery la poesía meritoriay el azul del cielode un país en cuyo espacio no quedaagua ... ni aireNo queda en él ni una tienda... o camellao café negro Nos acusan de terrorismosi escribimos sobre los...
1 septembre 2010

NIZAR QABBANI

NIZAR QABBANI
De terrorisme on nous accuseSi nous osons prendre défenseDe notre femme et de la roseEt de l'azur et du poèmeSi nous osons prendre défenseD'une patrie sans eau sans airD'une patrie qui a perduSa tente et sa chamelleEt même son café noir. De terrorisme...
1 septembre 2010

ELEGIE PAÏENNE

ELEGIE PAÏENNE
Le soleil s’est éteint et tous les bruits se sont tus,Une brise fraîche se lève du fond de la vallée !Et il suffit, pour te sentir profondément heureux,De croire qu’un bel espritHabite dans chaque calice de fleur,Que chaque léger frisson du ventEst le...
1 septembre 2010

NE ME PARLEZ PAS D'OUBLIER...Extrait

NE ME PARLEZ PAS D'OUBLIER...Extrait
Ne me parlez pas d'oublier que ma poésie a toujours un goût de sang un arrière goût de sang et de cadavres. Elle n'a connu que l'horreur la fange et les chimères. Elle a toujours été un témoin obligé de tous ces êtres mal-aimés désaimés piétinés labourés...
1 septembre 2010

SECRET POEME...Extrait

SECRET POEME...Extrait
(...) J’ai tant de silence à dire mon sang racle les brisants où l ’océan houleux vient frotter ses mufles ruisselants d’écume ses flancs de maelströms Je me suis laissé choir dans la gueule du gouffre de l’existence jusqu’à ce le monde extérieur se dissipe...
31 août 2010

POETES ET DIEUX

POETES ET DIEUX
"Comme les dieux ne répondaient pas, on a inventé les oracles. Ceux-ci ont été à la fois les premiers prêtres et les premiers poètes. Dans la voix des poètes, il doit y avoir quelque chose de la voix des dieux." . . . CHRISTIAN ERWIN ANDERSEN . . .
31 août 2010

D'UN RIVAGE

D'UN RIVAGE
Du jour qui va s’éteindre la lumièrea la déchirante beauté d’un êtreaimé dont le sourire au loin s’efface.Je n’ai plus les mots ni le chant hélasen réponse à ce foudroyant silencedu monde aux rives déjà de l’absencepour que de la blessure puisse naîtreavec...
31 août 2010

AU PIED D'UNE STELE DE VERRE....Extrait

AU PIED D'UNE STELE DE VERRE....Extrait
Homme de nulle part je ne peux pas être ce (ceux) que vous croyez Je trône dans un cimetière de vieilles pelles mécaniques. Je voudrais bien sûr m’en aller me perdre je ne sais où… Mais je dois rester con prêt en cible au cœur du son des cordes d’un ring...
31 août 2010

REGARDER LE NOIR FAIT NAÎTRE LA COULEUR

REGARDER LE NOIR FAIT NAÎTRE LA COULEUR
Regarder le noir si intensément labyrinthe. Voir poindre une infime lumière. Tout au bout. De l’autre côté. Le long du temps qui rêve. Là où tout s’océanise et déferle dans le sens des cailloux et des dunes… … fruits du silence, les autres sont-ils vivants...
31 août 2010

CHEVAL COUCHE...EXTRAIT

CHEVAL COUCHE...EXTRAIT
Odeur, rebelle, animale de l’amour dans la poésie des corps mêlés au sommeil d’orage Solidarité minérale aux portes pleines de vents Interroger les énigmes de l’âge ultime de l’âge du délabrement où tout se lézarde, s’effrite, croule, s’éboule orgueil...
28 août 2010

LES FEMMES SONT LES PREMIERES MAISONS

LES FEMMES SONT LES PREMIERES MAISONS
Les femmes sont les premières maisonsdes hommes et des femmes,elles sont leur rampe de lancement, leur pont,elles leurs donnent leur âme. Ainsi les hommes pendant 9 moisont été qu'ils le veuillentou pas......... des femmes.Une fois sortis d'elles, hélas!,il...
28 août 2010

FEUILLETS D'HYPNOS...Extrait

FEUILLETS D'HYPNOS...Extrait
" Dans nos ténèbres, il n´y a pas une place pour la Beauté. Toute la place est pour la Beauté." .RENE CHAR .
28 août 2010

COUP DE CHANCE POUR LES VOYAGEUS...Extrait

COUP DE CHANCE POUR LES VOYAGEUS...Extrait
Ainsi fut le rêve - - - le débutn´est pas ici,la fin est cachée,aucun répit dans cela,dans le courant.L´esprit est tourmenté par des choses insaisissables,insaisissables comme l´odeur de la pluie du matinaprès son passage, indicibles comme la vue de la...
27 août 2010

SOUVENIRS DESORDONNES...Extrait

SOUVENIRS DESORDONNES...Extrait
Je crois que l'amitié que j'ai vouée à Char dès son arrivée à Paris s'explique d'abord parce qu'il était L'Islois. Nous étions presque du même village, presque voisins ; nos souvenirs d'enfance avaient la même couleur, la même sonorité et il était attaché...
27 août 2010

NOTRE BESOIN DE CONSOLATION EST IMPOSSIBLE A RASSASIER...Extrait

NOTRE BESOIN DE CONSOLATION EST IMPOSSIBLE A RASSASIER...Extrait
"Je traque la consolation comme le chasseur traque le gibier. Partout où je crois l’apercevoir dans la forêt, je tire. Souvent je n’atteins que le vide mais, une fois de temps en temps, une proie tombe à mes pieds. Et, comme je sais que la consolation...
27 août 2010

IL Y A SI LONGTEMPS...

IL Y A SI LONGTEMPS...
il y a si longtemps que j'essaiede toucher la nuit les fronces légèresque fait l'eau dans le silence toucher dans le corps frileux, froisséle souffle de Dieu sur les eauxcette chose qui éclaire mes imageset parfois de si loin les déchire les yeux de nuit...
27 août 2010

SABLES FUNAMBULES...Extrait

SABLES FUNAMBULES...Extrait
(...) notre absence nous définitet notre solitude un rêve de terre ouvreles mots sur la mer le temps nous rouvre à l’enfance sculptés d’ombre et de lumièrenous nous tenons visagesà gauche du soleilcomme à côté des épinesla plage des cœurs de l’espace...
EMMILA GITANA
Pages
Tags
Derniers commentaires