
On ne construit rien comme il fautTout se conjugue à l'inhabile; un grand massacrede mots rouillés,à l'amertume, au bruit, au rire.Ou alors des exclamations de joie, pour affirmerque tout est occupé en soi, qu'il ne reste riende soi qui ne soit libre, rien qui ne crie victoiresur le trottoir.Toujours une fenêtre ouvertevous regarde pour questionner:croyez-vous vraiment que le malheur existe?Il n'y a que la solitude qui vous enroue;alors on cherche une femme pour coucheret on lui dit: je t'aimeet quand on aime on ne sait plus.(...)Il y...
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