
Monsieur le Président,
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Le 12 juillet au soir, comme un grand nombre de nos compatriotes, je vous ai écouté avec attention. Puis-je vous le dire ? Au terme de votre allocution, j'ai ressenti une forme de sidération. Quoi ? Un président de la République doit s'adresser sur ce ton au peuple français ? En un mot, j'ai eu mal à ma France.
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Alors, en ce 14 juillet qui ne sera certainement pas à marquer d'une pierre blanche dans le grand livre de notre Histoire, tant notre devise nationale est aujourd'hui en lambeaux, j'ai...
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