
Je marche sur les hauteurs des bois en avant des promontoires glissants,
Vers les brouillards d’été qui s’enfument à l’approche des sommets et se lovent sur les parois douces des arbres ;
Je progresse à l’avant des terres cadastrées par les loups et les froids,
Au-devant des forêts qui s’irritent de me voir traverser les emblèmes de leurs vertus ;
J’avance seul dans les détroits des fûts qui me regardent avec des yeux absents,
Seul visible aux orfraies qui ne se souviennent déjà plus de leurs...
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