
Terre de NazimTerre d’AbdouTerre d’AbrahamTerre de Paris,nue et blesséecité interditeaux vitrines reflétant la plus haute solitude.Une population bariolée de visagescrispésbroyée par l’étau des sueurs d’angoisse.Et l’engrenage des mots qui font des plaies béantes :Métro, Sommeil, Chômage, Banlieues d’insécurité– les chasseurs de faciès ne dorment que d’un œil –Pluie, vent glacial, chambres sordides éclairées par les larmesLes poings serrés de rage, de détresse, d’insomnie.Là-bas, très loin, l’épouse, la tendre fiancéeCouleur jasmin,...
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