
Il faut quelquefois pousser les passants, s'extraire de la foule, de la rumeur du monde, sans bien savoir s'il y a mieux à faire vraiment que plonger ici-bas, s'indigner, s'en tenir au journal, à la bataille utile après tout contre les mots mis à l'envers, ou le glaive aberrant : ces larmes du moins sont vraies, et ne suffisent pourtant pas. On va glanant d'autres chagrins plus haut que les pavés, plus loin que la pauvre terre à notre hauteur. On cherche d'autres drames dans le jour jaune, on ne sait trop quelle énigme dans du cristal...
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