
Où que tu sois, un temple s’établit comme livre,
cernant vivant tout le nom.
Les astres se gouvernent.
Sur la scène déserte sans me voir tu me prendras
Et t’épousant toi-même, moi-même m’épousant,
ne nous sachant le même, ayant
À vivre en secret toutes les passes des ondes,
je serai cet or qui s’écoule.
Vois ses cordes,
vivantes lumineuses des blancs retours des idylles lactées
Oui, tu les pourras tendre pour la scansion des temps,
je tournerai de par La Lyre
Sans jamais nous rejoindre,
l’enchaînement sacré que...
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