26 mars 2013
POUR UNE HEURE INCERTAINE
« Le silence étouffe tes mots. Quelle langue habites tu ? Ta voix creusée dans le lourd manteau de ['oubli, ta voix revendique migre soudain, s'arrête aux frontières d'un jour moribond. Et s'animent les mots qui dormaient dans la nuit profonde du passé....