
"Il faut abriter chaque mot dans le poème, le rossignol, le muid, l'amarante, l'aurore, et encore le sang, la sanie, le blasphème. Tout est signe. Tout doit devenir parole, puisque la peine est l'ombre de l'or, selon la polysémie des mots du poème, conduisant le poète, comme son lecteur, vers la paix nombre de l'or, dont le chiffre réconcilie toutes les contradictions."
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JEAN MAMBRINO
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Oeuvre Héliette Wzgarda