
A toutes celles qui portent, presque invisible, "un point de chagrin"...
Le texte est au "féminin", mais on ne saurait oublier tous ces hommes qui traversent la froideur du silence avec un brise lame..
On les appelle "les bouleversées". Elles sont belles, lumineuses, vaillantes, présentes. Pourtant une part d’elles s’est mise à flotter entre deux temps, entre deux mondes, entre elle et elle.
On les reconnait à ce sourire qui est un mélange parfois de douceur et peut-être d’un « remontant » qui aide à continuer la vie....
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