Dors.Ne crains pas le regarderrant.Dors.Ni le papillon,ni la parole,ni le rayon furtifde la serrurene t’atteindront.Dors.Comme mon coeur,comme lui,mon miroir.Jardin où l’amourm’espère.Endors-toi sans crainte,mais réveille-toi,quand mourra le dernierbaiser de mes lèvres.
FEDERICO GARCIA LORCA
Oeuvre Serge Marshennikov