
Il y va de la quadrature du souffle sur un cercle de sable et de lumière. Des voix comme autant de soleils de sangs rouges ou noirs. Musique improvisée en terrains découverts, jazz en partance, jazz torero avec des galops d’ombre et des charges de feu. Poésie à risques, sans assurance. Poésie cavalière qui se veut en cavale. Poésie d’arène et de roulotte au long cours. Voyage qui se voue à l’éveil du duende.
..
.ANDRE VELTER
.
.
.
Œuvre Cécile Desserle