
La nuit est à la monodie des vents tournants, aux grains, au foehn îlien, au froissement dolent des oliviers sous la voûte constellée. Comme un règne incontesté et salutaire que la nature dispute au tumulte, au chaos de la carrière infamante. Un combat inégal écorche le sommeil que je ne trouve pourtant pas en cette longue veille, alors que tout prélude à l'échappée solitaire.
Appréhension, certes, mais plus encore, la peur, la crainte de ces étendues que je ...
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