
Il y a dans les incertitudes électorales passées et à venir des traces évidentes de nervosité, un désir d’autre chose contrarié… un sentiment de tant d’impasses. Nos idées ne sont pas incarnées, ou mal, ou par des leaders que l’on ne veut pas voir ne serait-ce que deux secondes à la tête du pays, alors on vote comme aurait pu le chanter Stromae, on vote résigné, on vote machin pour éviter bidule, Paul pour déshabiller Jacques, on espère peser, pulvériser les plans prévus, on détricote les combines, les plans des officines, on...
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