
C'est de ton souffle et du silenceDont le poème a besoinPour ouvrir ses clairièresEt libérer en toi mille éclatsMille oiseaux
Mais aussi d'une poignée d'amis postés sur les lisières de l'âmeQui savent bien mieux que toiLe bruissement des ailesLes murmures de l'aubeLa ferveur du vent
L'écho les aurait-il rejointsLà où tu perdais piedCar tu n'es jamais seul au lieu de l'écritureDans ton sang tant d'absences de présences réellesTant de mains secourablesDe rythmes bienfaisants
Vers quelle étrange...
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