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EMMILA GITANA
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8 janvier 2020

CORINNE GRANDEMANGE...Extrait

CORINNE GRANDEMANGE...Extrait
Quand il faudrait suspendre le souffle devant le magique éphémère - quand il serait urgent de sursoir pour rassembler les cœurs figés - quand le feu et la glace marchent ensemble la tête à l’envers - quand les oiseaux chantent en janvier tant l’air est...
11 novembre 2017

A CE POINT DU SOIR

A CE POINT DU SOIR
à ce point du soir c’est là, vois-tu que le verbe devrait se saisir des corps épars des âmes concassées les étreindre au plus vide de leur manque bercer leur moelle et écrire tendrement à même leurs veines le mythe jamais écrit de la consolation . FLORENCE...
7 septembre 2017

IMAGINE

IMAGINE
imagine l’immense, mer ou plaine de grands vaisseaux isolés ou des arbres que traverse le vent imagine la crue la crue d’un fleuve ou d’une âme et cette eau qui bouillonne et ce vent qui la froisse imagine des êtres passant hélant les autres ou la poésie...
26 juillet 2017

DISSOUDRE

DISSOUDRE
Regarde les tes pierres grises et sales Tu dis qu’en les retournant on y trouve Des grenades tranchées des rouges qui ruissellent Et l’or des fous qui pleure le long de la blessure Vive Regarde ce que tu vois et que personne Ne veut voir et remets les...
21 juillet 2017

L'HEURE PRESENTE...Extrait

L'HEURE PRESENTE...Extrait
Tu regardes vivre le soir. Le ciel, la terre Nus, allongés sur leur couche commune. Et lui, rien que nuées, Il se penche sur elle, prend dans ses mains Sa face respectée. Dieu ? Non, mieux que cela. La voix Qui se porte, essoufflée, au-devant d'une autre...
30 juin 2017

JEAN-TOMAS WARD...Extrait

JEAN-TOMAS WARD...Extrait
Que ce soit les tiennes les dernières poussières d’étoile qui m'envolent. les blandices constellées sur tes paupières cristallisent l’énigme le décor palpébral. comme une mosaïque d'aurores où adorent s'attarder mes traversées . fragrance d' iridescence...
17 avril 2017

VOYAGE A TRAVERS UNE NEBULEUSE

VOYAGE A TRAVERS UNE NEBULEUSE
Je ne peux remettre l’amour à un autre siècle je ne peux pas même si le cri s’étrangle dans ma gorge même si la haine éclate crépite brûle sous des montagnes grises et des montagnes grises Je ne peux ajourner cette étreinte qui est une arme au double...
8 mars 2017

HOMMAGE A MAYA ANGELOU

HOMMAGE A MAYA ANGELOU
Je suis femme par les deux plateaux de mes mains Comme deux générosités ouvertes Je suis femme par la savane brûlée de mes yeux Et par le bouclier de mon front derrière lequel luttent mes pensées et mes rêves Je suis femme par l’audace de mes lèvres où...
9 novembre 2016

REGAIN DU SANG...Extrait

REGAIN DU SANG...Extrait
La terre brisée où je te retrouve – tes mains puisent à mon visage et j’ai cessé de mordre le vent dans tes cheveux – cette terre de sacre, de couleurs avides d’ombre tendre compte ses failles avant boire. Un peu de feu nous tient à distance. Des armes...
8 novembre 2016

MEMOIRE D'ETOILE DE MER...Extrait

MEMOIRE D'ETOILE DE MER...Extrait
les doigts en éclats devinent l'avenir sur ton corps l'écriture passée brisée en étoile à six branches sur main morte toison sans blason tangue le rythme de liberté nous sommes vent et mer navire et phare frontières en étau divorcent l'étreinte et la...
21 octobre 2016

LE DERACINE...Extraits

LE DERACINE...Extraits
Rien n'est beau comme ta nuit Eclairée d'un sourire Le peu de temps pour la mort Tu te pares fragile si belle D'un corps au solstice du rêve Ventre premier Et le figement de la vague sur l'étoffe Dans l'étreinte de ce lieu perdu que tu sais La vigueur...
22 septembre 2016

LA FEMME AVEC QUI JE SUIS EN AMOUR

LA FEMME AVEC QUI JE SUIS EN AMOUR
Le crève-cœur faibli, sans doute serait-il possible d’adresser un début de motet à un être de lumière ; encore faudrait-il que me vînt quelque figure ou sa feinte, signe quelconque avant-coureur ouvrant leur envol aux vocables, les laissant s’affranchir...
10 août 2016

SONNET

SONNET
J’aime, de la nuit, le prélude lorsque vous venez, Main dans la main et me prenez lentement, strophe après strophe, dans vos bras. Vous m’emporterez, tout là-haut, sur vos ailes. Amis, restez, ne vous hâtez pas Et dormez contre mes flancs pareils aux...
6 janvier 2015

QUINZIEME POESIE VERTICALE

QUINZIEME POESIE VERTICALE
Éteindre la lumière, chaque nuit, est comme un rite d’initiation : s’ouvrir au corps de l’ombre, revenir au cycle d’un apprentissage toujours remis : se rappeler que toute lumière est une enclave transitoire. Dans l’ombre, par exemple, les noms qui nous...
EMMILA GITANA
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