9 juin 2007
EVARISTO CARRIEGO
Que ce poème demandé Aille vers toi, comme venu D'un souvenir versé A une terre d'oubli... Pour te souffler à l'oreille Son agonie la plus secrète, Lorsqu'en tes nuits, agitée Par tes souvenirs, peut-être Tu liras, une fois au moins, Les strophes du poète....