
A dos de lumière,J’élucide l’ombreJe vais l’amblepoussant mon âme cahin caha*Au puits sucré de la tendresse,La poulie déroule son arpège avideJ’y puiseDes pluies récoltéesà même les rides de joies*Je continue à pas de vert,Sur l’angle aigu du violon ailéA jouer d’espérance accrue*Et je souffle d’incessantes couleursSur les corpsEn arabesques tresséesL’écho s’inverse*Aux roses parcheminéesDe mon nomQuand Tes lèvres m’enfantentJe vais au bout de l’aveuglante poussièreD’un chemin de Damas*Nos pas teintentl’angélusS’oublient nusLes...
[Lire la suite]