
Voilà que tu te défends contre l'air du temps défiéAu-delà des étés d'antandu repos mérité de l'attelageet de l'aire de battage qui s'est tue rien ne va plus
Vers le ciel gris des cimeschauffées à blanc au coeur des vallées de la fournaisela vie suffoqueles estives ont perdu la sourceet le ruisseau Il monte des hameaux de pierresdes campanilesqui vacillent entre d'âcres touffeurs un silence brûlantLes paupières rougies tu entrevois le spectre de la soif
Désertiques nuées sombres augures plus rien ne te rappelle aux...
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