
Bonjour la rue des sottes nuits hivernales Pavée de mes pas et mes détours maudits Mes soupirs, mes plaintes et mes râles Reviennent ombrager tes silences interdits
Vieux drille je suis, assidûment étranger Tel un Oyat des plages de colères arraché Obviant vaille que vaille aux vergetures Et à l'essor guindé des vaudevilles futurs
Du village qui m’a vu naître et les déconvenues Passant par les cités d’ombres que j'ai connues Jusqu'à Paris où j'ai chaviré de mes ails d’agami Étranger là où j'ai été et chanté, là où j'ai dormi. ...
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