
Et par le soleil installant sous ma peau une usine de force et d’aigles et par le vent sur ma force de dent de sel compliquant ses passes les mieux sues et par le noir le long de mes muscles en douces insolences de sèves montant et par la femme couchée comme une montagne descellée et sucée par les lianes et par la femme au cadastre mal connu où le jour et la nuit jouent à la mourre des eaux de sources et des métaux rares et par le feu de la femme où je cherche le chemin des fougères et du Fouta-Djallon et par la femme fermée sur la...
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