
Il n’y a plus de portes dans les murs, plus de ponts sur les rivières. Entre les pour, les contre, les contre du pour et les pour du contre, nous prenons nos peurs pour des opinions, et nous nous rapetissons dans nos peines. Chacun pour soi, chacun chez soi, nous ne faisons plus que subir et nous débattre dans la tristesse de la séparation. Il est là, le vrai virus, caché dans cette cave du cœur où nous oublions notre commune humanité. Au delà de nos idées, de nos croyances, il est grand temps de revenir à ce qui nous fait semblables...
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