
« Je n’aime pas les indifférents. Je crois comme Federico Hebbel que « Vivre veut dire être parti prenant ». Il ne peut exister les seulement hommes, les étrangers à la cité. Qui vit vraiment ne peut ne pas être citoyen et parti prenant.
L’indifférence est aboulie, est parasitisme, est lâcheté, elle n’est pas la vie. Je n’aime pas donc les indifférents. L’indifférence est le poids mort de l’histoire. C’est la boule de plomb pour le novateur, c’est la matière inerte dans laquelle souvent se noient les enthousiasmes les...
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