
Parce que j’ai mal à l’âme du père clandestin qui peine dans un ghetto de Paris, avec des larmes qui irriguent à flots silencieux les fontaines où se régénèrent les pulsions mondaines. Parce que j’ai des douleurs au dos de la femme de ménage qui abroge sa silhouette vibrante et attendrie dans les arrière-salles des boulevards culinaires et bombesques, quand le maquignon sirote le bon vin, la main décidée sur les cuisses d’une vierge que lui a rétrocédé l'impuissance des ventres creux. Parce que je souffre d'une entorse au pied de...
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