
« Va, pensée, tant qu’un mot clair est ton aile
pour l’envol, te soulève et s’en va là-bas
où les métaux légers se bercent,
où l’air est pénétrant
dans un esprit nouveau,
où les armes parlent
d’une seul façon.
Bats-toi pour nous là-bas !
« La vague soulevait un bois flotté, elle retombe.
La fièvre te serrait contre elle, et puis te lâche.
La foi n’a fait que déplacer une montagne.
« Laisse debout ce qui est debout, va pensée !
pénétrée de rien d’autre que notre douleur.
Sois notre...
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