
Un an que tu es partie....
.
Assez !
Je me convoqueraiMoi-même entre deux yeux, que l'on cause,Que je sache enfinQui à l'intérieur de moi ne peut entendreChanter un seul oiseau sans croire qu'il fait jourQuiRegardant une foule marcher en grondantPense qu'elle est bonneQuiCroit que la main est faite pour tendreL'eau et le pain aux affamésQuiVoyant le sourire sourit en retourDonne, donne au-delà du manque,Qui Continue, dans le noir, dans le labyrinthe, dans les cris, les insultesD'avancer, naïveté, joie qui danse,...
[Lire la suite]