
Ô mon immensité hyalinema nuit perse au visage voilé
De renaître à ton choeur sombreperpétuel et vagueà l'étreinte des vagues
Où divaguent le profond hiverdes ciels les vastités confondues L'esquisse sublime de nos arabesques insensées
chaque fois nous révèleharmonique à ton plain-chantQue ne m'emporterez-vous assez Comme la danse de l'amour transcende et saouleembrase l'essence d'une ivresseà nulle autre pareille
Et c'est au long poèmede l'absenceque vont sans rimele penser...
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