
Seul le baiser pour muselièrePour le silence du poèmej’exige les baisersunique et mienne muselièrej’attends le ventencore le ventpour que derrière des éventailspuissent me souriredes femmesédentéesJe pointe l’index sur ma terrequi va lancer la première pierreil y a tant de villes à construirede vils payscroupissant dans la rouillePour avoir arrachémes propres yeuxet les avoir lancés contre le soleilj’ai connu d’étincelants aveuglementset des voyances au plus clairdes lunesabsentes…et depuis…je connais l’image de la douleurje sais même...
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