
Après qu’une députée ait posé une question orale au Ministre istiqlalien de l’Education Nationale –Ministre qui ne connaît évidemment pas la première langue de son pays- au sujet de l’enseignement de la langue amazighe, le Parlement marocain vient de prendre une décision incompréhensible : l’interdiction pure et simple aux députés de parler la langue amazighe au Parlement d’un pays où plus de 70% de la population parle cette langue qui, de surcroît, est officielle dans la nouvelle constitution de 2011.
Le prétexte invoqué...
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