
Dieu, tu me fatigues. Encore. Tu n'as rien compris. En décembre 2016, je t'ai écrit une lettre pour protester contre l'effondrement de l'humanité à Alep, alors que Bachar al-Assad, le sinistre président de la Syrie, tuait des civils et bombardait des hôpitaux pour arracher la ville au contrôle des djihadistes.
Je te reprochais de rester les bras croisés, toi qui es, à ce qu'on dit, tout-puissant et miséricordieux.
Aujourd'hui, ça recommence. Bachar al-Assad a de nouveau déployé sa machine de guerre pour étouffer la Ghouta...
[Lire la suite]